Dernière mise-à-jour: décembre 2020
« Je dirigerai le régime des malades à leur avantage, suivant mes forces et mon jugement, et je m’abstiendrai de tout mal et de toute injustice. »
De plus en plus de parents prennent la décision de ne pas vacciner leurs enfants.
Et parfois, on ne comprend pas leur choix.
On pense même souvent que c’est un choix non réfléchi, alors que les parents qui font le choix de ne pas vacciner leurs enfants sont plus souvent qu’autrement très informés sur les effets de la vaccination.
Ça fait longtemps que je voulais partager mes raisons de ne pas vacciner mes enfants d’une manière respectueuse, pour informer sur ce que vous ne saviez pas peut-être pas sur les vaccins, surtout parce qu’en milieu francophone on tarde à connaître les nouveautés sur les dangers des vaccins.
J’espère qu’elles peuvent vous aider à mieux comprendre les familles qui se prévalent de leurs droits, et si c’est le cas, prendre une décision plus éclairée pour vos propres enfants.
Merci de garder l’esprit ouvert pour éviter la dissonance cognitive (rejeter en bloc quand ça choque notre système de croyances), et de suivre les liens de références tout au long de l’article au besoin…
8 des plus importantes raisons pourquoi je ne fais pas vacciner mes enfants
1. Parce que les vaccins ne me semblent pas sécuritaires.
Pour avoir été inspecteure pour une compagnie qui fabrique les vaccins, à inspecter les fioles de vaccins, les procédures réglementaires et assister les inspections internationales, je n’ai pas confiance que le vaccin est 100% sécuritaire.
Même avec les meilleures intentions, l’erreur humaine existe à tous les niveaux. Les inspections internes et externes, comme par la FDA, échantillonnent un petit pourcentage et ne voient pas tout, comme si un virus a bien été désactivé avant d’être mis en fiole (ce qui pourrait expliquer les cas de contagion chez certaines populations vaccinées, nous y revenons plus loin).
Le Dr. Andrew Mouldon a consacré la fin de sa vie à étudier les dangers des vaccins et était d’avis que tous les vaccins produisent un méfait.
En choquant le système immunitaire avec des toxines, le vaccin peut changer la circulation sanguine et produire de l’anoxie, une déprivation en oxygène dans les micro-vaisseaux. Selon ses recherches, on peut parfois voir ces méfaits après injections avec les réactions faciales, comme l’affaissement de certains muscles du visage.
Une nouvelle étude danoise dirigée par le Dr. Soren Wengel Mogensen révèle aussi 5 à 10 fois plus de risques de mortalité avec le vaccin le plus commun chez les enfants. C’est une des seules études entre les enfants vaccinés et non-vaccinés, et les résultats sont alarmants.
2. Parce que les ingrédients toxiques dans les vaccins m’inquiètent.
Récemment, le renommé Robert F. Kennedy Jr. est sonneur d’alarme. Il a déniché que la science est sans équivoque sur que le mercure est un danger pour la santé et est lié à différentes maladies et conditions. Même les étude citées par le CDC sur son site web, pour exonérer le thimérosal comme causeur d’autisme, lient l’exposition au thimérosal à un QI faible, à un langage et des aptitudes moteurs diminués et aux tics, une famille de troubles neurologiques qui incluent le syndrome de Tourette.
Il cite une étude publiée en 2017 qui suggère un lien entre les vaccins et des troubles divers, comme les troubles obsessionnels compulsifs, l’anxiété et l’anorexie.
Robert F. Kennedy est d’avis que les pédiatres n’ont pas le temps de s’informer correctement, et même qu’il ont des motivations monétaires à ne pas le faire pour plutôt faire un suivi des vaccinations:
“Le programme (de la Croix Bleue) donne 40$ de bonus au pédiatre pour chaque vaccination à temps jusqu’à 400$ par enfant.”
Oui, le mercure serait dans les vaccins donnés à plus de 100 millions d’enfants à travers le monde. Peu de gens sont réellement informés sur les ingrédients toxiques que l’on retrouve chez les vaccins. Les vaccins contiennent encore entre autres du mercure (thimérosal), une neurotoxine particulièrement dommageable pour le cerveau du foetus ou de l’enfant, du formaldéhyde, qui a été classifié comme un carcinogène humain, et de l’aluminium, dont les recherches sur effets dommageables sur le cerveau et le système immunitaire ne cessent de s’accumuler, ainsi que plusieurs autres ingrédients toxiques que personnellement je ne souhaite pas administrer à mes enfants.
3. Parce que le fait qu’ils atteignent directement les organes importants des enfants m’envoie un signal d’alarme.
L’injection se passe très tôt sans passer par les voies naturelles de contagion, qui sont en place pour construire son immunité. Et ça se passe dès les 2 mois où je vis, et est répété des dizaines de fois au cours de l’enfance. Je m’inquiète vraiment de l’effet composé que ça peut faire pour un corps immature, pour tant d’enfants à travers le monde.
Parce que le vaccin, avec ses ingrédients divers, a directement accès en passant dans le sang aux organes vitaux d’un enfant.
Et à voir les multiples cas de fortes réactions adverses, blessures et morts signalées des vaccins, je sais que je suis sur une piste. Tout récemment, lors des essais pour le vaccin COVID de Pfizer, quatre participants ont par exemple développé une paralysie faciale temporaire.
4. Parce que les effets à court et long terme ne sont pas clairement sans danger.
Les études à court terme ont un conflit d’intérêt parce qu’elles sont financées par les compagnies qui produisent les vaccins. Et celles-ci ont le droit d’utiliser un placebo qui contient des métaux lourds comme comparatif, donc un faux placebo qui affecte la crédibilité de ces études.
Et les études à long terme ne sont pas populaires. En fait une des seules études qui existent vient d’Allemagne, avec des observations chez 12 583 enfants, et elle démontre que les enfants non vaccinés souffrent beaucoup moins de divers troubles, comme moins d’allergies, d’otites, et d’hyperactivité.
Selon Barbara Loe Fisher du National Vaccine Information Center:
1 enfant qui a reçu beaucoup de vaccins sur 45 développe l’autisme aux États-Unis aujourd’hui, 1 sur 6 a des problèmes d’apprentissage, 1 sur 9 fait de l’asthme, 1 sur 10 a un TDA, 1 sur 12 souffre de dépression, 1 sur 400 devient diabétique, et des millions ont des difficultés avec d’autres types de désordres au cerveau et d’immunité marqués par de l’inflammation chronique au cerveau et au corps.
Le Dr Anthony R Mawson a publié une étude pilote en 2017 sur 666 enfants éduqués à domicile, et il observe que la vaccination semble associée à des désordres neurodéveloppementaux comme les troubles d’apprentissage, TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité), et troubles du spectrum de l’autisme.
Une récente étude de 2019 révèle que les enfants non vaccinés seraient en meilleure santé que les enfants vaccinés. Cette étude a démontré que les enfants non vaccinés auraient moins de fièvres et nécessiteraient 25 fois moins de soins pédiatriques, et qu’aucun de ces enfants n’auraient développé un TDAH:

Visites pédiatriques par problème de santé pour les enfants vaccinés (en orange) versus non-vaccinés (en bleu).
Concernant les actualités, voici quelques informations importantes sur le vaccin SRAS-COV-2:
- Lors d’essais pour le vaccin COVID de Pfizer, 4 participants ont développé une paralysie faciale temporaire.
- Le vaccin COVID-19 de Pfizer contient de l’ARN. Selon le réputé Dr Perronne: «[…] un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.»
- Selon la monographie de décembre 2020 du vaccin Pfizer au Canada, la sécurité et l’efficacité de ce vaccin n’ont pas été prouvées pour les moins de 16 ans et ce vaccin ne serait pas pour les femmes enceintes ni allaitantes (pourrait être secrété dans le lait humain, et un risque pour les bébés et tout-petit ne peut être exclu).
- Info choc: selon un informateur de GSK, le vaccin COVID pourrait causer 97% de stérilité chez les femmes et des troubles de stérilité chez les hommes aussi.
- Un avertissement des Dr Michael Yeadon, anciennement à la tête de la recherche respiratoire chez Pfizer, et Dr Wolfgang Wodarg: «La syncytine-1 […] qui est dérivée des rétrovirus endogènes humains (HERV) et est responsable du développement d’un placenta chez les mammifères et les humains et est donc une condition préalable essentielle à une grossesse réussie, se trouve également sous forme homologue dans le pic protéines des virus du SRAS. Rien n’indique si les anticorps contre les protéines de pointe des virus du SRAS agiraient également comme des anticorps anti-Syncytin-1. Cependant, si tel était le cas, cela empêcherait également la formation d’un placenta, ce qui entraînerait une infertilité des femmes vaccinées.»
- Des réactions graves et décès sont rapportés dans les milliers chez adultes et enfants, selon des données officielles du CDC et d’experts. Dr Toby Rogers estime que 117 enfants seront tués pour en sauver 1 et Dr Robert Malone, l’inventeur de la technologie à ARNm, explique que cette injection atteint les organes importants.
- Plus de 123 études revues par les pairs déclarent que l’immunité naturelle est supérieure aux injections COVID.
5. Parce que je crois qu’il y a des mesures plus efficaces que les vaccins actuels.
Nous entendons souvent parler des épidémies de maladies contagieuses chez les enfants vaccinés, comme si l’immunisation ne fonctionnait pas, ou en tout cas pas pour tous. Et s’il y a immunité, elle n’est pas permanente. Et plus encore:
Les données historiques ont démontré que le déclin de la plupart des infections contagieuses était en cours avant l’utilisation de vaccins spécifiques, même que pour la plupart des vaccins les morts par ces maladies contagieuses étaient devenus rares, peut-être dû à la hausse de l’hygiène. Donc l’argument pro-vaccination qu’on rencontre souvent que les vaccins ont éradiqué de graves maladies contagieuse est erroné et n’est pas prouvé:
“Le déclin de diphtérie, coqueluche et fièvre typhoïde a débuté un bon cinquante ans avant le début de l’immunisation artificielle et a descendu à un niveau presque qu’équivalent avant et après l’adoption de ces mesures de contrôle.
Les affirmation à propos des impacts salvateurs historiques des programmes d’immunisation apparaissent être des suppositions et non basées sur des faits.”
-McCormick W. J., Archives de Pediatrics
Mettre en place le soutien de l’allaitement maternel, naturellement plein de vertus comme des anticorps, avec les soins après la naissance et le soutenir à long terme, ne rendre accessible le lait maternisé que sur prescription, retirer l’enfant malade des lieux publics, ou diriger les fonds publics vers un programme qui assure une alimentation, une supplémentation, et de l’information de qualité pourraient être encore plus efficaces et moins dommageables.
Une étude est arrivée à la conclusion que l’efficacité du vaccin oral du rotavirus vivant (qui cause les gastro-entérites) est peu effectif dans les pays moins développés avec l’allaitement plus présent. Selon cette étude c’est probablement dû à l’effet neutralisant de l’allaitement et à la plus haute présence d’anticorps.
Une autre raison d’encourager l’allaitement exclusif pour les 6 premiers mois de l’enfant et l’allaitement non-écourté par la suite (et les études sur ce sujet) comme recommandé par l’OMS.
6. Parce qu’ils ne stimulent pas l’immunité de manière naturelle.
L’immunité est un processus qui évolue au fur et à mesure que l’enfant grandit. Le vaccin ne laisserait pas l’immunité se mettre bien en place pour créer un système efficace afin de bien combattre toutes les maladies contagieuses rencontrées.
Lorsqu’on vaccine, le virus peut rester latent dans les cellules, et laisser le vacciné être un porteur et un contaminateur par effet antigène originel (original antigenic sin).
Il faut se rappeler que l’immunité de masse si tous étaient vaccinés (et ça inclurait une vaccination à jour pour les adultes aussi) est donc bel et bien un mythe; une personne vaccinée peut être contagieuse.
On parle souvent sans fouiller plus loin des épidémies de contagion “causées par les non-vaccinés”, alors que celles-ci pourraient bel et bien être entraînées par un vaccin risqué (par exemple avec un virus non-désactivé). D’ailleurs ce qui est troublant aussi est que des vaccinés sont souvent au coeur de ces “épidémies”, comme pour le cas où une épidémie de rougeole a été déclarée dans une école secondaire où 98% étaient vaccinés.
Une quarantaine après un vaccin devrait donc en principe être appliquée pour éviter la contagion à la population.
Et pour choquer le système immunitaire et le forcer à réagir, on utilise des adjuvants liés à des troubles comme la paralysie du syndrome de Guillain-Barré.
La vaccination comme on la connaît actuellement serait une solution peu efficace, si elle l’est. Car nous sommes encore peu sûrs: “le système immunitaire reste une boîte noire,” affirme le docteur Garry Fathman, directeur de l’Institute of Immunology, Transplantation and Infection.
Une maman informée me partageait:
“On pointe du doigt les gens qui décident de ne pas vacciner, seulement parce que ça détourne l’attention du vrai problème. Si l’efficacité du vaccin n’est pas de 100%, même si tout le monde le prend, il resterait une partie de la population qui pourrait attraper la maladie. Si le vaccin atténue les symptômes, se pourrait-il qu’il camoufle une maladie qui est contagieuse et pourrait être grave pour certaines personnes, alors qu’on fait continuer à notre enfant contagieux son train-train quotidien plutôt que de le garder en quarantaine le temps de la contagion? Comment se fait-il que la majorité des adultes, qui n’ont pas reçu autant de vaccins que selon le calendrier actuel, ne se comptent pas eux-même comme faisant partie des non-vaccinés? Puisque ‘l’immunité’ conférée par les vaccins ne peut être garantie comme immunité à vie, se pourrait-il que la majorité des adultes contribuent autant que nos enfants non-vaccinés à cette immunité de groupe tant acclamée?”
7. Parce que je crois qu’on ne nous dit pas les enjeux et les intérêts que toutes les parties ont avec la vaccination.
Le Canada a participé au financement de compagnies pharmaceutiques. Il n’est pas neutre dans la campagne de médiatisation.
Je crois c’est en partie pourquoi il les promouvoie dans son guide pour parent Mieux-vivre et de manière détournée dans ses médias d’information. Il y a beaucoup de mésinformation à ce sujet, et c’est ardu de trouver les sources fiables.
8. Parce que je suis contre les méthodes de fabrication de vaccins.
Je suis végane, et fais de mon mieux pour la non-violence. Des millions de poussins sont tués pour fabriquer des vaccins car on utilise leurs antigènes. Et je crois que forcer les enfants contre leur gré, à voir leurs réactions, à recevoir un vaccin est une forme de violence.
Je sais maintenant que j’aurais aimé mieux ne jamais être vaccinée – je me demande vraiment si mes allergies n’y sont pas liées.
La vaccination, c’est un pensez-y à plusieurs fois
Pour faire bref, ce n’est ici qu’un survol, et je t’encourage à faire tes propres heures de recherche indépendante sur cet important sujet.
À ce jour, les vaccins comportent beaucoup trop de risques et contiennent trop d’ingrédients directement dangereux pour être une solution santé viable à mes yeux. Combattre la maladie injectant un produit dangereux, qui a des réactions adverses notables à travers le monde et qui n’a pas fait ses preuves à long terme, c’est alarmant.
Ils ne sont pas encore à mon avis la panacée qu’on nous vend contre les maladies, s’ils le sont jamais un jour.
Donc non, je ne fais pas vacciner mes enfants en lien avec ce que je sais, si tu peux bien comprendre.
Merci de respecter notre choix.
Ressources sur les dangers des vaccins à consulter

ÉPINGLE PINTEREST ET IMAGE À PARTAGER SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX – RESSOURCES À CONSULTER DANS L’ARTICLE SUR JEMATERNE.COM: «Pourquoi je ne fais pas vacciner mes enfants (ou 8 faits importants concernant les dangers des vaccins)» https://jematerne.com/2017/04/12/vaccination-dang…iner-mes-enfants/
Pour se procurer des livres sur les dangers des vaccins
DE BROUWER, Louis, M.D. Vaccination: erreur médicale du siècle.
GEORGET, Michel. Vaccinations: les vérités indésirables. Dangles Édition.
LANCTÔT, Guilayne, M.D. La mafia médicale: comment s’en sortir et retrouver santé et prospérité.
LANNOYE, Paul. Les vaccinations en question.
MORIN, Monique. VACCIN$: Docteure Maman en a assez. Covivia Publications.
SIMON, Sylvie. Ce qu’on nous cache sur les vaccins.
Liens
Spécial COVID
Vaccin en GB. Déjà des victimes et des complications.
Ressources de Vaccine Choice Canada sur les vaccins COVID-19
Un informateur œuvrant chez GSK affirme que le nouveau vaccin pourrait causer 97% de stérilité chez les femmes:
–https://www.bitchute.com/video/IalsQvC0XIdl/
-https://www.scirp.org/Journal/PaperInformation.aspx?PaperID=81838
Autres liens sur les dangers des vaccins
National Vaccine Information Center
Aveu de la direction générale de Santé Canada
Dr. Andrew Moulden, Livre Every Vaccine Produces Harm (lien affilié)
Présentation du Dr. Andrew Moulden à Montréal
Les enfants non-vaccinés sont en meilleure santé
Augmentation de la mort foetale suite au vaccin de la grippe
Liste des ingrédients des vaccins, site du gouvernement canadien
DTP Vaccine Increases Mortality in Young Infants 5 to 10-Fold Compared to Unvaccinated Infants
Aluminium toxicity and vaccines
Aluminium in the Central Nervous System
Voodoo Science – The Myth of Vaccine Efficacy
Méfaits du Gardasil
Une infirmière affirme avoir été témoin de bébés tués par la vaccination
Pour les pays qui n’ont pas tout à fait la liberté vaccinale
La France travaille à une clause d’exemption
Le consentement implicite avec la vaccination lorsque votre enfant fréquente l’école les journées de vaccination:
«Je partage cette information, provenant d’un contact:
En 2014, l’OMS a produit un document qui s’adresse aux responsables de programmes prévoyant les modalités liées à la vaccination des enfants et des adolescents (âgés entre 6 à 17 ans).
À la page 3 de ce document, il est question de consentement des enfants, en regard de la vaccination.
Selon l’OMS, il y a 3 formes de consentement vaccinal:
Consentement écrit
Consentement verbal
Consentement implicite
Alors que les 2 premiers types de consentements sont clairs, le 3e, lui, l’est moins.En fait, selon l’OMS, voici ce que le “consentement implicite” signifie:
“Un processus de consentement implicite en est un par lequel les parents sont informés de la vaccination imminente via une mobilisation sociale et une communication, incluant parfois des lettres adressées directement aux parents.
Par la suite, la présence physique de l’enfant ou de l’adolescent, avec ou sans parent accompagnateur à la séance de vaccination, est considéré comme un consentement.
Cette pratique est basée sur le principe de l’opt-out et les parents qui ne consentement pas à la vaccination devrait implicitement
prendre des mesures pour que leur enfant ou adolescent
ne participe pas à la séance de vaccination.Ça peut vouloir dire de ne pas laisser l’enfant ou l’adolescent
aller à l’école un jour de vaccination, si l’administration d’un vaccin doit y avoir lieu.”Sources: https://www.who.int/immunization/programmes_systems/policies_strategies/consent_note_en.pdf
https://www.who.int/immunization/programmes_systems/policies_strategies/consent_note/en/
Comme vous pouvez le voir, ça fait plusieurs années que l’OMS a clarifié la notion de consentement vaccinal.
Et ici, il s’agit de pouvoir considérer la présence à l’école d’un enfant comme une forme de CONSENTEMENT à la vaccination.
Alors ceux qui croient que les parents exagèrent lorsqu’ils gardent leurs enfants à la maison lors des jours où il y a des vaccinations, à l’école, ce n’est pas le cas.
En fait, ces parents qui protègent leurs enfants de la vaccination en milieu scolaire en les gardant à la maison font très exactement ce que suggère l’OMS.
Il sera donc très important que vous conserviez une copie de cette publication parce que ça pourrait vous servir de justification, si vous voulez protéger vos enfants d’une éventuelle vaccination-COVID.
—
Ne perdez pas de vue que l’OMS a des partenaires comme l’Alliance GAVI de Bill Gates, la Fondation Bill et Melinda Gates et presque tous les tenants de “big pharma” (incluant via GAVI, comme Sanofi Pasteur, GSK, Pfizer, Janssen, Novartis, Johnson & Johnson et des dizaines d’autres).
https://www.gavi.org/fr/modele-de-fonctionnement/modele-de-partenariat-de-gavi/industrie-pharmaceutique-pays-industrialiseshttps://www.who.int/workforcealliance/members_partners/member_list/gavi/en/
Alors ne vous surprenez pas que l’OMS ait établi des approches de consentement implicite pratiques pour les vaccinateurs en milieu scolaire.
En gros, l’OMS dit publiquement qu’un enfant à l’école est considéré consentir à la vaccination.
La seule défense d’un parent contre cet assaut vaccinal contre un enfant est donc de le garder à la maison, un jour de vaccination.
Le parent peut prendre entente avec l’école, menacer l’établissement d’une action légale en cas d’atteinte à l’enfant (via une vaccination) ou en étant présent sur place (ce qui est à peu près impossible, aujourd’hui) mais la meilleure manière de déjouer l’OMS et ses plans pour la vaccination, c’est que l’enfant ne soit pas sur place, au moment de la vaccination scolaire.
En 2020, cette information qui date de 2014 est plus vitale que jamais.
Partagez, en grand nombre.
—
Pour fins d’archive, cette publication est ici, aussi:
https://forum.chaudiere.ca/viewtopic.php?f=2&t=1711 »
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Note de l’éditrice
***Merci de signaler un problème avec un lien, et d’envoyer vos sources fiables et liens d’actualité pour votre pays à info@jematerne.com. Certains liens de livres sont affiliés et redonnent un petit montant pour notre ressource si vous les utiliser, merci de votre support.
Ce texte est basé sur mes opinions, mon expérience et des années de recherches, mais il ne consiste pas un avis médical. Au besoin, en parler avec un professionnel de la santé en qui vous avez confiance, bien informé sur tous les aspects du sujet. Par soucis de concision pour les parents occupés, ce n’est qu’un résumé. Je l’ai publié de bon coeur pour aider à faire connaître tous les aspects de la vaccination (car pour diverses raisons ils sont souvent sont tenus cachés des parents) afin que les parents puissent prendre une décision éclairée en connaissance de cause pour les pays qui ont la liberté vaccinale.
Svp garder l’esprit ouvert, pour éviter la dissonance cognitive et rejeter en bloc avant d’avoir pris le temps de connaître, puis lire en profondeur les liens colorés et les ressources de l’article avant de commenter. Merci de commenter lors de la publication sur les réseaux sociaux avec respect et sources fiables à l’appui pour faire avancer la conversation.
Quelle que soit votre décision, je suis sûre que vous respecterez votre coeur, et en tant que parent c’est votre droit. Et cette décision est privée à votre famille, vous n’avez pas à l’expliquer à personne.
Si vous avez apprécié, merci de partager vos informations sur les dangers des vaccins pour une population francophone plus éclairée. Je fais aussi un appel ouvert: si vous voulez vous impliquer dans la sensibilisation, rechercher et traduire des articles anglophones crédibles sur votre site web, c’est courageux et un réel besoin.
Merci de votre lecture!
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